Les Crises.fr - Comment le Congrès « apprend » sur la Russie - Salut l'amie
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L’opérateur de fonds spéculatif William Browder a aidé à piller les ressources russes — et a renoncé à sa citoyenneté américaine — mais est toujours considéré comme un apôtre de la vérité par un Congrès bien crédule, note l’ancien agent de la CIA Philip Giraldi dans The American Conservative.
Un membre du Congrès m’a avoué un jour que lui et ses collègues semblent savoir beaucoup de choses, en général, mais que leurs connaissances s’arrêtent « à quelques centimètres de profondeur ». En d’autres termes, les exposés que leur fournissent leur personnel, ou qu’ils reçoivent en comités leur permettent de paraître bien informés face aux caméras du Congrès, sans creuser à des profondeurs qui pourraient créer de la confusion.
William Browder, gérant de fonds spéculatifs, lors de son témoignage en 2015.
Et les informations ainsi fournies doivent en général se montrer conformes à ce que les membres du Congrès estiment vrai et compatible avec ce qu’ils veulent entendre, afin de n’embarrasser personne.
Nul ne devrait être surpris qu’on atteigne un tel niveau d’ignorance dans le royaume de la politique étrangère, car les membres du Congrès ne constituent plus de nos jours un groupe particulièrement instruit. Peu d’entre eux parlent des langues étrangères, et plus aucun n’étudie l’histoire ou la culture d’autres pays que les États-Unis, et parfois même pas.
Pour autant, certains membres du Congrès se vantent de tous les pays qu’ils ont visités pour « constater les faits ». Ils sont incapables d’admettre se déplacer dans une bulle, déplacée à l’étranger par avion militaire au travers des insignifiantes délégations du congrès connues sous le nom de CODELS. Lors de ces voyages, leurs épouses font du shopping, pendant que les législateurs américains assistent à des exposés du personnel d’ambassade et de l’agence locale de la CIA. Tous ces exposés, pour des raisons budgétaires, visent plus à montrer que les protagonistes font un travail fabuleux, plutôt que d’expliquer la complexité de la situation locale.
Et c’est suivi par une visite obligée au chef d’État local, pour écouter ses mensonges comme quoi tout va bien dans son pays. Au vu de toutes les saloperies qui y entrent et en sortent, il n’est pas surprenant que des bouffons comme les sénateurs John McCain ou Lindsey Graham soit loués comme experts en politique étrangère par le Parti républicain. Ça s’appelle placer la barre très bas.
Pour un Congrès dont le but est de paraître faire quelque chose, tout en ne faisant rien, l’une des plus grandes pertes de temps est constituée des auditions en comités. Les sénateurs et membres du Congrès y appellent des « experts » pour se faire expliquer pourquoi telle politique est soit pertinente, soit inutile. Bien sûr, ça ne se déroule en général pas exactement comme cela : le comité préfère écouter un témoignage dans le sens de ce qu’il pense déjà sur tel ou tel sujet, si bien qu’il n’invite que des parties qui vont dire ce qu’il veut entendre.
Des séances à sens unique
Pour ne citer qu’un exemple parmi de nombreux du désintérêt du Congrès d’entendre toute opinion qui viendrait à l’encontre de celles de l’establishment, parlons d’une séance du 16 février, face au comité aux Affaires étrangères, dénommée « L’Iran averti », mettant en œuvre quatre « experts », tous les quatre hostiles envers l’Iran et proposant des « solutions » allant d’encouragements actifs à un changement de régime à l’usage de la force militaire. Personne en capacité d’expliquer les positions de l’Iran et/ou proposer des approches non conflictuelles n’avait été invité ou convié à participer....
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