L'ECONOMIE - Vendredi 2 juin 2017

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L'ECONOMIE


    Vendredi  2 juin 2017

Climat : les grands patrons américains face à Trump

Le président des Etats-Unis, Donald Trump, annonce la sortie de son pays de l’accord de Paris devant la Maison Blanche, à Washington, le 1er juin.
Le président des Etats-Unis, Donald Trump, annonce la sortie de son pays de l’accord de Paris devant la Maison Blanche, à Washington, le 1er juin. JOSHUA ROBERTS / REUTERS
Donald Trump a annoncé hier la sortie des Etats-Unis de l’accord de Paris sur le climat. Plusieurs multinationales américaines ont exprimé leur déception. Patron du constructeur de véhicules électriques de luxe Tesla, Elon Musk a jugé que cette décision n’était « pas bonne pour l’Amérique ou pour le monde » et annoncé qu’il claquait la porte des différents cénacles qui conseillent M. Trump. Bob Iger, le PDG de Disney, lui a emboîté le pas. « Nous défendons publiquement l’action et la prise de conscience sur le climat », a déclaré de son côté un porte-parole de General Motors, numéro un américain de l’automobile. Patron de General Electric, Jeff Immelt a exhorté les milieux d’affaires à prendre la tête du combat pour le climat afin de pallier l’inaction des autorités. La Business Roundtable, groupement des plus grands patrons américains, s’est gardée de critiquer aussi frontalement la décision de M. Trump mais souligne les conséquences « potentiellement graves et très étendues »du changement climatique. Sans surprise, les entreprises du secteur technologique se sont elles aussi montrées critiques.
Même les grandes majors pétrolières américaines comme ExxonMobil et Chevron, ou encore la finance par la voix du PDG de Goldman Sachs Lloyd Blankfein, ont fait entendre leur désapprobation. Après la querelle sur l’immigration, cette levée de boucliers presque unanime marque un nouvel accroc dans la lune de miel nouée entre Donald Trump et les milieux d’affaires, séduits par la promesse de baisse d’impôts massive et de dérégulation. Après avoir freiné les négociations sur le réchauffement pendant des années, les grandes entreprises américaines se sont en effet converties au combat climatique, dans un souci d’image autant que de rentabilité. De fait, de grands investisseurs se détournent des énergies fossiles et ces sociétés sont pressées de toutes parts d’adapter leur modèle de croissance à un monde délesté du carbone. Le consensus n’est toutefois pas total. Le puissant groupe de pression patronal de l’US Chamber of Commerce, qui affirme représenter 3 millions de grandes entreprises et de PME, a adopté un ton très conciliant après l’annonce du retrait américain.
Trois médiateurs nommés pour l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Un ancien pilote de ligne, un ingénieur et une préfète vont s’atteler au dossier, au point mort depuis des années. Ils doivent proposer une solution d’ici au 1er décembre sur ce projet controversé, auquel s’était opposé Nicolas Hulot, aujourd’hui ministre de la transition écologique. La principale association proaéroport, Des ailes pour l’Ouest, a annoncé qu’elle ne participerait pas à la médiation.
Stations-service à sec : retour progressif à la normale en Ile-de-France.Celui-ci pourrait prendre plusieurs jours, malgré la reprise du travail des chauffeurs de camions de carburants, en grève depuis vendredi dernier à l’appel de la CGT. Le syndicat a appelé à la levée du mouvement après une réunion mercredi soir au ministère des transports, qui a abouti à un nouveau calendrier de discussions avec les employeurs.
Baccarat cédée à un fonds d’investissement chinois. La cristallerie française de luxe, créée en 1764 en Lorraine, a annoncé vendredi son rachat par Fortune Fountain Capital (FFC). Le fonds chinois s’apprête à acquérir 88,8 % des actions auprès des fonds américains L Catterton et surtout Starwood Capital Group, qui contrôle Baccarat depuis 2005. « FFC maintiendra et centralisera toute la production et l’emploi à Baccarat », assure l’entreprise, qui a dégagé 2,2 millions d’euros de bénéfices en 2016.
Deux satellites de télécommunication mis en orbite par Ariane 5. La fusée avait décollé jeudi soir de Kourou, en Guyane. Il s’agit du sixième succès de l’année pour Arianespace, qui commercialise les lancements. D’une durée de vie de plus de quatorze ans, ViaSat-2 doit permettre de pratiquement doubler les capacités des services haut débit de l’opérateur américain ViaSat Inc. Eutelsat 172B, premier satellite tout électrique fabriqué en Europe, couvrira la zone Asie-Pacifique pour améliorer, entre autres, la connectivité en vol et en mer.
Scandale des moteurs diesel truqués : rappel de 24 000 modèles A7 et A8 d’Audi. Le gouvernement allemand a pris cette décision jeudi, accusant le constructeur bavarois, filiale de Volkswagen, d’avoir faussé les tests d’émissions polluantes de ses véhicules les plus prestigieux. Assemblées entre 2009 et 2013, plus de la moitié des voitures concernées ont été vendues en Allemagne. Le président du directoire de VW, Matthias Müller, a été convoqué à Berlin.
Wal-Mart propose à ses employés de livrer des colis. Ce programme« volontaire » doit leur permettre de gagner plus en livrant après leur travail des achats effectués par des clients sur internet. Objectif : réduire les coûts de livraison et faire parvenir plus rapidement des colis. L’enseigne, premier employeur privé aux Etats-Unis avec environ 1,4 million de salariés, espère ainsi combler son retard sur Amazon.
Net recul du bénéfice de Laurent-Perrier. Il a chuté de 7,9 %, à 23,2 millions d’euros, lors de l’exercice décalé 2016-2017 (clos à la fin de mars) du producteur de champagne, pénalisé par une baisse de ses ventes « dans un contexte de marché difficile ». Le chiffre d’affaires du groupe a diminué de 5,8 %, à 230,6 millions d’euros, notamment en raison d’effets de change négatifs.

Micro-Macro

par Thibaut Soulcié
Dessin de Thibaut Soulcié
1 milliard
C’est, en euros, le montant du contrat remporté par le groupe parapétrolier TechnipFMC sur un projet gazier majeur au Mozambique, dans le cadre d’un consortium avec le japonais JGC et le sud-coréen Samsung Heavy Industries. Celui-ci a été chargé par le fournisseur d’énergie italien Eni de « l’ingénierie, la fourniture des équipements, la construction, l’installation, la mise en service et le démarrage » d’une plate-forme flottante conçue pour produire près de 3,4 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) par an à partir de 2022 ou 2023, destiné au groupe britannique BP.

Dans la presse étrangère

La Suisse révise l’imposition de ses entreprises

Des billets de 1 000 francs suisses, l’un des plus grands billets du monde, le 16 février 2016.
Des billets de 1 000 francs suisses, l’un des plus grands billets du monde, le 16 février 2016. RUBEN SPRICH / REUTERS
Le Conseil fédéral suisse examine le « Projet fiscal 17 », trois mois après le rejet de la troisième réforme de l’imposition des entreprises (RIE III) par les électeurs helvètes. Ce texte sonnera le glas des régimes fiscaux spéciaux dont bénéficient certaines multinationales. Les piliers de cette nouvelle réforme restent inchangés, rapporte Le Temps : baisse du taux ordinaire d’imposition des entreprises et hausse de l’impôt fédéral direct (IFD), calculé sur les revenus et prélevé par les cantons pour le compte de la Confédération.
L’organe de pilotage, qui pose les bases de cette réforme déjà critiquée, propose une compensation à travers les allocations familiales, financées par les employeurs. Les communes, à la tête de la fronde contre la RIE III, devraient bénéficier d’une rétrocession de l’impôt fédéral direct. Mais de nouvelles recettes sont nécessaires et les concepteurs du projet pensent à augmenter l’imposition partielle des dividendes. Seules deux niches fiscales seraient proposées, pour la recherche et le développement et pour les revenus issus de brevets d’entreprise. Coût du projet pour les caisses fédérales : 915 millions de francs.
« Je ne peux pas faire un dispositif dans lequel on baisse les impôts pour tout le monde très vite »
C’est ce qu’a déclaré ce matin Edouard Philippe sur RTL. Tout en admettant que « la pression fiscale en France [était]importante », le premier ministre a estimé que cela « ne serait pas raisonnable ». Il a insisté sur les mesures pour relancer l’activité, les baisses de cotisations sociales et la« correction » de la taxe d’habitation.
L'éco & moi
Mon argent. Hausse de la CSG : préserver le pouvoir d’achat de retraités pouvant être pénalisés. Pour financer la suppression des cotisations maladie et chômage des salariés, le programme du président de la République prévoit une augmentation de 1,7 point de la contribution sociale généralisée (CSG), en protégeant les chômeurs et 40 % des retraités les plus modestes. Emmanuel Macron a demandé en conseil des ministres qu’une réflexion soit conduite en parallèle « pour que les retraités qui ne bénéficient pas d’une CSG à taux partiel et qui subiraient une augmentation de CSG puissent retrouver un gain de pouvoir d’achat par la suppression de la taxe d’habitation », a noté le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner. Il a également « demandé que remontent en débat, au sein du conseil des ministres, toutes les mesures du quotidien qui peuvent avoir un impact sur la vie des Français et sur leur pouvoir d’achat, pour que nous puissions, dans la partie de discussion un peu générale, en mesurer l’impact ».
Etudes & documents
Face au Brexit, les entreprises britanniques vont-elles filer à l’anglaise ?Depuis le référendum du 23 juin 2016, les entreprises ont bien résisté, mais la faiblesse des investissements est déjà perceptible au Royaume-Uni. La baisse de la croissance conduira à une hausse du nombre de défaillances d’entreprises de 8,7 % en 2017 et 8 % en 2018, selon la Coface. L’impact d’une baisse des flux migratoires avec l’Union européenne sur la croissance du pays est évalué à – 0,3 point dans le cas d’un « soft Brexit » et atteindrait – 0,6 point dans le cas d’un « hard Brexit ». Les entreprises devraient souffrir d’un déficit d’attractivité, mais le pays conserverait des avantages notables aux yeux des investisseurs.
Dépenses départementales d’action sociale en 2016 : des résultats en trompe-l’œil. Celles-ci n’ont que faiblement augmenté l’an dernier, grâce à une baisse du nombre de bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), tandis que les concours de l’Etat destinés aux personnes âgées n’étaient pas entièrement dépensés. La dépense nette d’action sociale des départements a augmenté de 1,9 % en France métropolitaine, à 36,83 milliards d’euros, comparé à des hausses de plus de 3 % les années précédentes. Cette évolution reste conjoncturelle, précise l’Observatoire national de l’action sociale (ODAS) dans son enquête annuelle.
À lire sur Le Monde.fr

« Monsanto Papers » : la bataille de l’information

Pour sauver le glyphosate, la firme s’en prend à l’agence des Nations unies contre le cancer, qui a classé son produit phare cancérogène. Deuxième volet de notre enquête.
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Renault : des actionnaires en appellent au gendarme de la Bourse au sujet d’une filiale du constructeur

Trois groupes d’actionnaires ont saisi l’Autorité des marchés financiers (AMF), jeudi 1er juin, afin qu’elle enquête sur la gouvernance de RNBV, filiale commune à Renault et à Nissan installée aux Pays-Bas.
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Air France et ses pilotes tout proches d’un accord

La mise en œuvre du plan stratégique de la compagnie lui permettrait de lancer Boost, sa filiale à bas coût qui doit l’aider à restaurer sa rentabilité. Le temps presse.
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