Le cuistot de Bouffe: Julien marque des points

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Le cuistot de Bouffe: Julien marque des points

Par Le Barde et Bardibule


Le changement d’heure a fait son œuvre. La nuit craint de plus en plus le jour sur le pré. Héhé c’est le printemps ! Le rendez-vous pourtant est le même. Le synthétique se fout de la nature comme le changement d’heure à vrai dire. L’hiver ne viendra plus et c’est le printemps qui giboule à perdre haleine. Le castor est nature. Dudu sait de quoi il parle. Qu’il vente qu’il pleuve l’homme s’étire à rompre ennui. Il vient quand il pleut. Son morale se résume dans la morale « Quand on veut, il pleut. » Du coup c’est chagrin sur le pré. Et dans cette période trouble seul un petit groupe résiste face aux légions ocnophiles à ne pas confondre avec le noyau philobate de tout castor en devenir. Le secret réside dans la marmite… La place du druide est sacrée même si certains arrivent à concilier le pré et la bouffe sur leur tour. Gloire à Perdigue et à Jean Phi.

Ce soir c’est Julien qui régale. Le poinçonneur des lilas… désolé j’écris pour le coup à 9 doigts. Quoi de neuf sur le pré à part que nous étions neuf. Le neuf est à la base de la passe au 10. Notre dernière rencontre contre Dassault a prouvé que le castor se limite au jeu à 9. Une pensée pour nos ailiers émérites qui ont fait de leur jeu à l’aile une histoire sans ballon. Les annales se font ainsi. « La prochaine fois j’irais avec les gros. » se désespère l’orphelin de la balle. Doc c’est une dédicace pour toi. Tenir 40 minutes sans voir la balle tient du miracle chez le castor. Il nous manquait du Lourdes et du ballon dans les trois quarts. Même si pour les gros la partie fut active. La charnière est une porte sur le beau jeu. Autrement le demi d’ouverture Zippe et se fait fermeture éclair. Port de la capuche obligatoire pour éviter la marée.

Le Tarbais est présent sur le match comme au toucher. Le castor a les doigts qui démangent depuis mercredi dernier. Il choisit son camp, celui d’en face. Le coup d’envoi et nous voilà. Croucrou et le Barde en Eric Team. Les mouches choisirent pour commencer le camp des Pyrénées. Légère avance d’un plus deux pour lancer le débat du soir. Du coup Dudu renforça l’équipe qui gagne. L’expérience parle ! Pourquoi se mettre dans une équipe menée alors que tu peux conforter les meneurs d’une supériorité numérique non négligeable pour notre niveau et notre nombre du soir. Le compétiteur a de l’expérience il sent d’habitude la gagne. Cela saute aux yeux comme un coup de pied au cul. Bref ce n’est qu’un détail que l’ovale et l’histoire dépassera. Les lignes resserrées d’en face créèrent inopinément des intervalles plus larges. Quand tu compenses tu essuies. Le cogito de l’ovalie persiste. Bref le Barde raffole malgré sa cuisse récalcitrante de ses trous non destinés. Même si le créateur pense que tout trou est issu d’un travail de fond. Les gros acquiescent. Le jeu sans ballon est dévastateur. Du coup nous perdîmes Peter parti pour d’autres courses sans intervalle.

L’essai de la fin revint malgré tout à l’équipe de Dudu. Le castor ne vient pas uniquement pour prendre une douche ! Malgré un passage à vide leur sursaut fut dans l’ultime.

Julien a l’âme russe. Il se moque des bisbilles diplomatiques. Il nous offrit ainsi de découvrir les pirojkis (en russe : Пирожки ; au singulier Пирожок, pirojok). Ce sont de petits chaussons de la taille d'une bouchée, d'origine, cuits ou frits. Julien avait jeté son dévolu sur du chou blanc et des œufs pour les fourrer. Nous eûmes droit à deux pirojki chacun. Ils étaient accompagnés d’une salade russe répondant au nom de harengs sous la fourrure. En guise de fourrure, des betteraves et des carottes. Un régal accompagné d’un verre de vodka.

Le russe fourre en somme. Il n’y a pas une once de hasard dans le choix de Julien. Fourrer, c’est être impérial. La Russie en sait quelque chose. Qu’elle fut tsariste ou soviétique. Son ambition fut longtemps, et demeure, de fourrer les pays annexes sous sa botte. Reste qu’elle fourre bien encore. Mais en cuisine. Le vieux quatre eut ce mot : « Nous sommes tous des enfourrés. » Las, il fit un four. Pépé et Coco enfournaient, eux, tout à leurs papilles. Quant au Prez, il psalmodiait des prières orthodoxes.

Amélie observait, amusé et circonspect les propos du vieux quatre sur le management rugbystique après avoir vu ses petits du BEC se faire trousser par Cestas sur un score sans appel. Quant à Léo, il chantait ou, croisant les doigts, à la manière d’un sphinx, il murmurait son Mitterand avec, ça et là, des saillies giscardiennes, ponctuées de Je vous demande de vous taire. La Ve République en chair et en os.

Il y eut aussi une conversation sur le vers libre. Toujours avec le vieux quatre. Il se branle de l’hémistiche, de la césure, du hiatus et de tout le tsointsoin de la versification classique, il improvise, va son vers, en sauvage.

Julien la ramène palourde. Les gens de Niort ont dans leur seau la Maxime d’une pêche bredouille. Les castors pêcheurs sont ainsi. Ils subliment dans les barrages et pleurent la marée. Du coup le cuistot sort ses patates au plus grand bonheur du vieux 4. Et le voilà chantonnant en chœur de l’armée Sabite (rouge) pour les intimes un lalalala à faire trembler les monts de l’Oural. Un youri gargarisme qui nous montre que le vieux a du coffre. La patate fait purée avec un brin de lait, de beurre et de l’huile de coude pour écraser le tubercule. On peut savoir écraser sans savoir lancer me souffle Jimminy Cricket à mon oreille. Je rappelle que j’écris à 9 doigts.

La viande un délice. Du chevreuil de chasseur. Julien est un chasseur cueilleur et pas lanceur ! Le mélange véritable éloge à la gloire du peuple qui pousse à libérer le travailleur de tout Kolkhoze perdu. Coco pleure de bon cœur et Pépé s’imagine à la place de Sabite (Rouge) voyant le défilé de nos chers castors enrubannés, la queue plate en avant marchant sur l’hymne de l’internationale du castor… Sabitov, Lourdov, Pulpov, Perdigov, Jacquov, et tous les ovs en vrai camarades de la régale.

Le lancer d’assiettes fut cataclysmique. Julien, frénétiquement lacérait le trou de ses paraphes hésitants et vifs. Un désastre, une bérézina. Il y eut de la casse et des blessés. Notre bardibule vit l’un de ses doigts atteint dans sa chair. Il était bon pour un point. Le doc en ferait son affaire. Coco grommelait.

De petits rocamadour et de Funès tranches de brebis suivirent les affres du lancer. Puis, le dessert vint parfaire un menu de haut vol. De délicieuses tartes au citron meringuées. Julien excella jusqu’au terme.

La tablée se désorganisa en bande organisée. Le bout du bar se mit à la carte. Doc de son côté aseptisait les aiguilles de la répare. Et commanda les Gets pour mieux se souvenir des soins à tenir. Un point un get, deux points deux gets, trois points trois gets, et ainsi de suite avis aux malentendus. L’Hippocrate sur pattes susurre qu’il suture à la dure. « Pourquoi insister alors que l’on peut inciser ? » Notre doc est pragmatique et reste un sacré philosophe. Freud aime la médecine sportive et tire sa pipe pour la bourrer d’un voile enivrant mais nez en moins tabagique. Point de corps sans illusion.

Le Prez domine en roi le jeu de Dés. N’est pas Prez qui veut… Le castor en chef gouverne le débat et n’annonça pas la baraque. Le Prez se bat sans croisé. Ceci explique cela. Dur pour jouer à la belote. Le castor est viril et se plaint du cœur croisé. Notre Barde se fout des détails et s’en tira avec du jeu qu’il rendit bon. La plume est légère comme la victoire est éphémère.

Le Prez poussa la porte verte du trou. Il allait à la rencontre de la nuit avec son genou ceint d’une attelle. Hamilton enfourna son cycle rouge. Il pleuvotait et je murmurais ce vers de Pouchkine en songeant au prochain mardi : « L’habitude est un don du ciel qui fait office de bonheur. »


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