Fait rare, demain, tous les syndicats ont appelé les 5 millions de fonctionnaires à la grève et à la manifestation, même la CFDT qui était restée en retrait lors des débats sur la loi travail. Parmi les raisons qui poussent les agents publics à descendre dans la rue : le gel de la valeur du point d’indice (soit le gel de l’augmentation des salaires), la suppression de 120.000 emplois dans le secteur public et le rétablissement du jour de carence qui supprime la rémunération pour le premier jour d’absence.Dans le viseur des syndicats, on retrouve aussi une demande de compensation de la hausse de la CSG (Contribution Sociale Généralisée). Ce lundi matin sur Europe 1, le Premier ministre Edouard Philippe a tenté de désamorcer ce sujet avec une promesse encore floue. Il a assuré que l’Etat mettrait en place des compensations pour les fonctionnaires avec des diminutions de cotisations et l'instauration de primes.Sur Franceinfo ce matin, le leader de la CGT Philippe Martinez a tenté de décrire le malaise ressenti par les agents félicités pour leur réaction en cas d’attentats ou de catastrophes, alors que « dès le lendemain, on leur dit qu’ils sont trop nombreux, trop payés et trop fainéants parce qu’ils s’arrêtent trop souvent.» Nos journalistes sont allés à la rencontre de fonctionnaires voulant rappeler qu’ils ont avant tout une mission de service public.En parallèle, des grèves disséminées dans des établissements scolaires français protestent contre les suppressions d'emplois aidés. Les Restos du coeur de Grenoble avaient fait la une début septembre en déclarant qu'avec la fin de leur contrat aidé, ils ne pourraient plus distribuer de repas chauds. Mais ces suppressions touchent aussi les services publics qui emploient avec ce type de contrat des surveillants, des agents pour le temps périscolaire et pour d'autres tâches nécessaires au bon fonctionnement des établissements.Le gouvernement pourrait-il modifier ses annonces pour les fonctionnaires à la suite de cette grève ? Comment Edouard Philippe et Emmanuel Macron pourront-ils renouer le contact avec les fonctionnaires après ce front syndical ?Invités :-Christophe BARBIER, éditorialiste politique L’express-Jérôme FOURQUET, directeur du département opinion et stratégies à l'Ifop.-François ECALLE, directeur du site associatif « Finances publiques et économie » FIPECO-Sophie FAY, cheffe du service économie L’ObsRetrouvez-nous sur :| Notre site : http://ift.tt/2le4GVu...| Facebook : http://ift.tt/2l5qy36| Twitter : https://twitter.com/CdanslairF5Pas un événement important qui ne soit évoqué, expliqué et analysé dans C dans l’air. Tout au long de la semaine, les deux journalistes donnent les clés pour comprendre dans sa globalité un événement ou un sujet de première importance, en permettant aux téléspectateurs d'intervenir dans le débat ou de poser des questions par SMS ou Internet. Caroline Roux est aux commandes de l'émission du lundi au jeudi et Bruce Toussaint prend le relais le vendredi et le samedi.Diffusion : tous les jours de la semaine à 17 h 45Rediffusion : tous les jours de la semaine à 22 h 30Format : 65 minutesPrésentation : Bruce Toussaint, Caroline Roux et Axel TarléRéalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques WehrlinProduction : France Télévisions/Maximal Productions
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