GRENOBLE - LE LEADER DE LA FRANCE INSOUMISE ÉTAIT HIER AVEC LES SALARIÉS GRÉVISTES

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Le leader de La France insoumise était hier avec les salariés grévistes 


Jean-Luc Mélenchon a notamment rendu hommage aux salariés, à un savoir-faire centenaire et « irremplaçable » qui relève du « génie humain ». Photos Le DL/Lisa MARCELJA

Jean-Luc Mélenchon a notamment rendu hommage aux salariés, à un savoir-faire centenaire et « irremplaçable » qui relève du « génie humain ». Photos Le DL/Lisa MARCELJA


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L’ancien candidat à la présidentielle est venu hier après-midi soutenir les salariés en grève de General Electric Hydro (ex-Alstom), qui bloquent leur usine depuis huit jours déjà, pour dire “non” au plan social qui prévoit 345 suppressions d’emplois.

Parfois, il suffit d’un homme pour braquer les caméras sur un problème. Ou plutôt pour les faire descendre de Paris jusqu’à Grenoble.
Alors que les grévistes du site grenoblois de General Electric Hydro (ex-Alstom) évoquent depuis le début du conflit une sorte de chape de plomb qui empêche la résonance nationale de leur lutte, hier après-midi, tout a changé avec l’arrivée de l’Insoumis en chef, Jean-Luc Mélenchon.
Il a donc suffi que le député marseillais grimpe sur un camion, juste devant l’entreprise bloquée depuis une semaine, pour que les flashs crépitent et que les directs télévisuels se mettent en route… Un moment, politique évidemment, qui a néanmoins été fort, commençant par un cri repris collectivement par les 300 personnes venues l’écouter, celui de « résistance ». On a vu aussi pas mal de poings levés et on a également entendu une promesse de « ne rien lâcher » face au plan social qui prévoit 345 suppressions d’emplois.

« Quand est-ce qu’ils vont rendre des comptes sur les décisions stupides qu’ils ont prises ? »

Puis, Jean-Luc Mélenchon – entouré de la députée insoumise Mathilde Panot, de la conseillère régionale Émilie Marche, des maires de Grenoble et d’Échirolles Éric Piolle et Renzo Sulli et de l’adjoint municipal grenoblois Bernard Macret – s’est lancé, façon tribun, dans un long discours mêlant hommage et rage. Hommage aux salariés, hommage à un savoir-faire centenaire et « irremplaçable » qui relève du « génie humain », à « la formidable beauté du travail ». « Vous êtes une industrie de pointe, qui répond à des besoins de pointe, vous avez les qualifications. Nous avons besoin pour la France de votre usine, de vos turbines ! C’est vital pour la France de garder cette entreprise. Quand on passera à l’énergie 100 % renouvelable, il faudra des centaines, des milliers de vos turbines », a-t-il lancé.
Avant de passer à un vocable plus musclé et à une cible bien précise : les patrons de General Electric, mais aussi d’Alstom – toujours présent au capital de GE Hydro (mais minoritaire) –, qui sont « incapables, mendiants de subventions et cupides » et qui pensent qu’une entreprise, « c’est seulement un placement ». Puis, il a plus spécifiquement visé Henri Poupart-Lafarge, le PDG d’Alstom, entendu hier matin à l’Assemblée nationale (lire en page 3) et qui a plaidé son impuissance face à l’actionnaire majoritaire GE : « Mais quel genre de dirigeant êtes-vous ? Quel genre de Français êtes-vous si vous vous désintéressez de votre patrie ? »
Le président de la République en a aussi pris pour son grade, notamment parce qu’il était ministre de l’Économie lors de la vente de la branche énergie d’Alstom à GE en 2014 : « Regardez ces donneurs de leçons et leur vision à court terme ! Ils ne savent pas défendre l’intérêt général, l’intérêt de l’humain. Quand est-ce qu’ils vont rendre des comptes sur les décisions stupides qu’ils ont prises ? Et ce sont eux qui vous traitent de fainéants ? Or, vous, vous savez que l’État pourrait racheter ces 20 % d’actions et que la France pourrait ainsi continuer à disposer de cet outil de production. Mais s’ils ne le font pas, c’est qu’ils ne veulent pas le faire. Leur volonté a cédé. Et ça, on s’en souviendra ! »
Puis, Jean-Luc Mélenchon s’est adressé directement au gouvernement : « J’adjure Monsieur Emmanuel Macron et Monsieur Bruno Le Maire de comprendre ce qui est ici en jeu à Grenoble. Rien n’est joué jusqu’au 17 octobre, l’État peut agir. »


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