L'ECONOMIE - Lundi 29 mai 2017 - Salut l'amie
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L'ECONOMIE
Lundi 29 mai 2017
La presse s’inquiète d’un projet de l’UE qui menace son modèle sur le Net
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En direct. « Le Décodex » : un outil pour vous aider à vérifier l’information LE MONDE.FR / JOSÉFA LOPEZ
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Ce projet de règlement européen en cours de discussion, appelé à remplacer l’actuelle directive ePrivacy, permettrait à chaque internaute de décider dès sa première connexion du niveau de protection qu’il souhaite pour l’ensemble des sites qu’il visitera par la suite. Il ne déciderait donc qu’une seule fois d’accepter ou non les cookies, des fichiers invisibles qui se greffent sur un ordinateur pour y capter des données personnelles, et non site par site. Ce projet « prive les éditeurs de presse de la capacité d’informer chacun des lecteurs sur les raisons pour lesquelles leur consentement est sollicité, d’expliquer les avantages de contenus journalistiques et marketing personnalisés, et de rappeler l’importance de l’abonnement et de la publicité dans le modèle économique d’une presse de qualité », regrettent les trente-trois éditeurs signataires d’une lettre ouverte qui paraît lundi. « En privant les éditeurs de presse de proposer des publicités ciblées à leurs lecteurs, [la nouvelle version d’] ePrivacy favorise la réorientation des annonceurs publicitaires de la presse vers les plateformes numériques dominantes, et diminue donc l’investissement possible dans le journalisme de qualité », poursuit le texte, qui déplore aussi « une concentration des données des citoyens numériques européens aux mains de quelques entreprises mondiales ».
En France, les quotidiens nationaux Le Monde, Le Figaro, Les Echos, Libération, Le Parisien, La Croix, L’Equipe et L’Humanité, font partie des signataires de cette lettre adressée au Parlement européen et au Conseil de l’UE. « La presse n’a jamais eu autant de lecteurs, grâce à ses développements numériques (...). Ces performances ne permettront l’émergence d’un modèle économique de la presse digitale qu’à la condition que les éditeurs puissent connaître leurs lecteurs et développer une relation directe avec eux », fait valoir dans un communiqué dimanche le Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN), qui est à l’initiative de cette action. « Le recueil de données anonymisées (...) permet aux rédactions de mieux connaître les centres d’intérêt éditoriaux de chaque lecteur et de développer des offres de contenus adaptées », explique le SPQN. « Il est aussi essentiel pour adresser aux internautes des publicités ciblées, donc utiles et acceptées », poursuit-il. « C’est pourquoi la presse européenne pense indispensable, afin qu’elle puisse mieux remplir son rôle d’information, qu’ePrivacy soit profondément revu », conclut le SPQN.
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Impasse au G7 sur le climat. Les dirigeants du G7 ont reconnu samedi à Taormina (Italie) leur incapacité à trouver un terrain d’entente avec les Etats-Unis sur la lutte contre le réchauffement climatique, et ils en prendront acte dans leur déclaration finale. Dans un tempo surprenant, le président américain, Donald Trump, annonçait, au même moment, d’un tweet, qu’il trancherait « la semaine prochaine » sur un éventuel retrait de l’accord de Paris, source du désaccord avec ses partenaires européens. « La discussion sur le sujet du climat a été très difficile, pour ne pas dire pas du tout satisfaisante », a déclaré la chancelière allemande, Angela Merkel. « Nous avons une situation à six contre un, ce qui signifie qu’il n’y a encore aucun signe quant à savoir si les Etats-Unis resteront ou non dans l’accord de Paris » sur le climat, a-t-elle ajouté. Les dirigeants du G7 ont décidé dans une déclaration commune de lutter contre le protectionnisme, mais aussi contre toutes les « mauvaises pratiques commerciales ». Le G7 s’est dit samedi prêt à prendre des sanctions supplémentaires contre la Russie, pointant sa« responsabilité » dans le conflit ukrainien, selon la déclaration finale du sommet de Taormina, en Sicile.
Moyen-courrier russe. Le premier prototype du futur moyen-courrier russe Irkout MC-21, destiné à concurrencer les puissants avionneurs Airbus et Boeing, a effectué dimanche son premier vol d’essai dans le ciel d’Irkoutsk, en Sibérie. Le vol de cet avion de ligne, qui doit symboliser la renaissance de l’industrie aéronautique russe a duré 30 minutes, durant lesquelles l’appareil est monté à 1 000 mètres d’altitude pour s’y maintenir à 300 km/h selon l’entreprise publique Irkout, qui construit le MC-21. La Russie avait présenté en juin 2016 l’Irkout MC-21, appareil moyen-courrier transportant selon les versions entre 132 et 211 passagers et pouvant voler jusqu’à 6 000 kilomètres. Il doit concurrencer les « best-seller » des avionneurs européen Airbus et américain Boeing, l’A320 et le 737, qui dominent leur créneau. Irkout dit avoir enregistré 175 commandes de compagnies russes et d’une compagnie kirghize, parmi lesquelles la numéro un russe Aeroflot, pour cet appareil dont la mise en service doit avoir lieu en 2019.
Tati sous la loupe du tribunal de commerce. Les trois offres de reprise de Tati et de trois autres enseignes d’Agora Distribution (groupe Eram), avec en jeu le sort de plus de 1 700 emplois, seront examinées lundi par le tribunal de commerce de Bobigny, qui mettra sa décision en délibéré.
Ordinateurs bannis en vol. Les autorités américaines sont prêtes à interdire les ordinateurs portables en cabine sur tous les vols à destination des Etats-Unis, a dit dimanche le ministre de la sécurité intérieure, John Kelly. « Il y a une menace réelle (...) C’est vraiment l’obsession des terroristes : abattre un avion en vol, particulièrement un avion américain, bondé d’Américains à bord », a déclaré John Kelly sur la chaîne Fox News.
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Micro-Macro
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par Thibaut Soulcié |
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146 millions d’euros
Un nouveau volet de l’escroquerie à la TVA sur le marché des quotas d’émissions de CO2 arrive lundi devant la justice : il porte cette fois sur 146 millions d’euros, sur les 1,6 milliard d’euros que cette gigantesque fraude a coûté au total au fisc. Parmi les quatorze prévenus qui doivent comparaître jusqu’à la mi-juin devant la 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris, notamment pour escroquerie en bande organisée, figurent Grégory Zaoui, 45 ans, et Cyril Astruc, 44 ans.
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Le projet économique de May : faible et instable
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La première ministre britannique, Theresa May, le 26 mai, 2017. LUCA BRUNO / AP
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Les électeurs britanniques sont convoqués aux urnes le 8 juin par la première ministre, Theresa May. La situation économique est loin d’être brillante : la reprise est une des plus faibles observées, la productivité ne progresse pas et les salaires sont au plus bas depuis dix ans. Confrontée à l’échec de la politique économique menée depuis 2010, la réponse de M me May a été de proposer… ce qui a été déjà fait, observe The Guardian. Les profondes coupes dans les dépenses sociales visent à rééquilibrer les comptes et le permettraient si la Banque d’Angleterre pouvait offrir des conditions de prêt plus favorables. Mais ce n’est pas possible, car les taux sont à 0,25 % et ne peuvent baisser encore. Le résultat est que les coupes sociales vont réduire la capacité de consommation de l’économie. Et donc diminuer la croissance du pays. Le mauvais mix de politique monétaire et fiscale a laissé l’économie faible et instable. Faible, car les investissements et la productivité sont médiocres. Instable parce que la croissance dépend énormément des dépenses de consommation liées à l’endettement des ménages. La politique de M meMay a déjà subi d’importants retournements. Si elle continue à être menée, la pression sur le système de santé (NHS) va s’accroître et la croissance devrait être peu spectaculaire – en moyenne 1,9 % annuel au cours de la prochaine mandature. A l’inverse, les projets économiques du Labour et des libéraux-démocrates devraient entraîner une croissance plus élevée. Theresa May a donc convoqué des élections au mauvais moment et avec la mauvaise stratégie économique. Néanmoins, il y avait quelques bonnes raisons dans ces élections. L’idée était de garder l’accent sur la nécessité d’avoir un premier ministre « fort » pour faciliter le Brexit et – dans la mesure du possible – de détourner l’attention du bilan économique moins favorable du gouvernement. Lorsque l’économie est passée au cœur de l’attention, l’objectif fut de montrer que le Labour est le parti de l’endettement imprudent et de nationalisations motivées par des raisons idéologiques. Ce pari a été gagnant au début mais depuis le Labour remonte dans les sondages. Et la majorité de M me May, encore donnée gagnante dans les urnes, pourrait être de seulement 50 sièges au Parlement et non plus 150, ce qui serait une victoire à la Pyrrhus.
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« L’époque où nous pouvions entièrement compter les uns sur les autres est quasi révolue. C’est mon expérience de ces derniers jours. Nous, Européens, devons prendre notre destin en main »
Déclaration d’Angela Merkel, dans une apparente allusion à la relation entre l’Europe et les Etats-Unis, mise à rude épreuve lors du voyage en Europe du président américain, Donald Trump.« Nous devons nous battre pour notre propre destin », a poursuivi la cheffe du gouvernement allemand, selon qui les relations avec le président français, Emmanuel Macron, doivent être d’autant plus étroites. Angela Merkel s’exprimait dans la capitale bavaroise au lendemain d’un sommet du G7 (Allemagne, France, Italie, Japon, Canada, Etats-Unis, Royaume-Uni) à Taormina, en Sicile, où l’unité des sept pays parmi les plus riches du monde s’est brisée face à un Donald Trump refusant de s’engager en faveur de l’accord de Paris contre le réchauffement climatique.
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L'éco & moi |
Monde du travail. Réforme du travail : les Français contre un plafonnement des indemnités prud’homales. Les Français veulent une réforme du code du travail, mais ils sont 56 % à être opposés à un plafonnement des indemnités prud’homales en cas de licenciement abusif, mesure qui figure au programme du président Macron, selon un sondage Elabe, diffusé dimanche soir et réalisé pour Les Echos, Radio Classique et l’Institut Montaigne. 44 % des Français sont favorables à une réforme « en profondeur » du code du travail, mais 50 % veulent« l’aménager sur quelques aspects seulement ». Ils ne sont que 6 % à désirer le statu quo. Mais quand ils sont interrogés sur les principales mesures soutenues par Emmanuel Macron lors de sa campagne, 56 % rejettent un plafonnement des indemnités prud’homales en cas de licenciement abusif, ligne rouge pour tous les syndicats. Une grande majorité (72 %) est en revanche favorable à une fusion des instances représentatives du personnel ou à l’organisation par l’employeur de référendum en cas d’accord minoritaire (71 %). Les Français sont moins nombreux (57 %) à approuver qu’un accord d’entreprise déroge à un accord de branche pour fixer le seuil de déclenchement des heures supplémentaires. 50 % font confiance à Emmanuel Macron et à Edouard Philippe pour proposer une réforme qui « profite autant aux salariés qu’aux employeurs ». 49 % n’ont pas confiance. Ce sondage a été réalisé auprès d’un échantillon représentatif de la population française de 1 051 personnes (méthode des quotas), interrogées par Internet les 23 et 24 mai.
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Baromètre 2017 de l’attractivité de la France. L’attractivité hexagonale s’est nettement améliorée en 2016 : le pays enregistre 779 projets d’implantation ou d’extension, soit 30 % de plus qu’en 2015, selon le baromètre annuel du cabinet EY. Ces projets ont généré 16 980 emplois supplémentaires, un chiffre en hausse de 24 % par rapport à l’année précédente. La France reste ainsi à la troisième place dans le classement des pays les plus attractifs en Europe, derrière le Royaume-Uni et l’Allemagne.
Campings : un confort accru, une fréquentation en hausse. En 2016, les 7 800 campings de France métropolitaine disposent de 710 000 emplacements, en repli de 2,1 % depuis 2010. En effet, ils ont transformé de nombreux emplacements nus en emplacements équipés. Néanmoins, la fréquentation a progressé de 7,5 %, en raison de périodes d’ouverture plus importantes, notamment en mai et an septembre, et d’une plus forte occupation des campings ouverts. Le littoral engrange toujours plus de la moitié de la fréquentation, même si la croissance y est moindre que dans les zones urbaines et rurales.
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Arthur Sadoun, un séducteur à la tête de Publicis
A 46 ans, le publicitaire va devenir, jeudi, le troisième patron de Publicis Groupe. Il succède à Maurice Lévy, figure de la publicité mondiale et du monde patronal français.
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C'est un article L'ECONOMIE - Lundi 29 mai 2017 Cette fois-ci, j'espère pouvoir bénéficier à vous tous. Eh bien, vous voir dans d'autres publications d'articles.
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