L'ECONOMIE - Jeudi 25 mai 2017

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L'ECONOMIE - Jeudi 25 mai 2017

L'ECONOMIE

Jeudi 25 mai 2017


L’OPEP va prolonger sa baisse de production de pétrole

Plate-forme pétrolière sur le lac Maracaibo, au Venezuela, le 28 février 2011.
Plate-forme pétrolière sur le lac Maracaibo, au Venezuela, le 28 février 2011. ISAAC URRUTIA / REUTERS
L’OPEP et ses partenaires, dont la Russie, se réunissent ce jeudi à Vienne, en Autriche. Ils devraient prolonger jusqu’en mars 2018 leurs quotas de production de pétrole. A la faveur d’une décision historique, prise en novembre, les treize membres du cartel mené par l’Arabie saoudite s’étaient engagés à limiter leur production, entraînant dans ce mouvement onze pays producteurs extérieurs à l’organisation. Ce pacte à 1,8 million de barils par jour était valable jusqu’au 30 juin, mais l’accord n’a pas véritablement rempli son objectif de soutenir durablement les prix du brut et d’éliminer l’excédent d’offre. Le baril évolue dans une fourchette comprise entre 45 et 55 dollars à New York, alors qu’il était tombé jusqu’à 26 dollars en février 2016, mais sans certitude pour l’avenir. Le comité de suivi de cet accord, selon lequel les engagements de production ont été respectés à plus de 100 % en avril, recommande ainsi de prolonger les quotas pour neuf mois, afin d’atteindre le rééquilibrage désiré.
Cette prolongation a été mise sur la table par l’Arabie saoudite et la Russie, poids lourds du secteur, seuls pays avec les Etats-Unis à dépasser les 9 millions de barils par jour. Aucun des producteurs engagés dans l’accord, inquiets de l’instabilité des prix du baril, ne s’oppose publiquement à ce projet. D’abord réticent, l’Irak s’est finalement montré convaincu du bien-fondé de la mesure. Mais les marchés restent prudents sur l’efficacité d’une nouvelle limitation de la production, dans un contexte de réserves mondiales gonflées par le dynamisme de l’offre américaine.« Une prolongation des baisses encouragerait la production américaine de pétrole de schiste », estiment les analystes de Capital Economics. En 2014, l’OPEP avait tenté d’évincer ce concurrent en inondant le marché d’or noir, mais cette stratégie avait provoqué une chute spectaculaire des prix, sans affaiblir durablement les producteurs de pétrole de schiste.
Baisse du chômage en avril. Après une flambée du chômage en mars, Pôle emploi observe un recul de 1 %, soit 36 300 chômeurs de moins le mois dernier. La métropole compte ainsi 3,47 millions personnes en recherche d’emploi, selon les chiffres du ministère du travail.
Reprise du travail chez GM & S Industry. C’est ce qu’ont voté les salariés hier, après le sursis accordé par le tribunal de commerce de Poitiers. Celui-ci a prolongé jusqu’au 30 juin la période d’observation de l’entreprise creusoise, le temps d’examiner les options de reprise. Les syndicats ont annoncé le redémarrage de la production lundi et le « déminage » du site de La Souterraine (Creuse), occupé depuis le 11 mai.
Concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Les tractations sur la délicate réforme du marché du travail se prolongeront la semaine prochaine avec la ministre du travail, Muriel Pénicaud, après une première série de discussions, mardi et mercredi, à l’Elysée et à Matignon. Une « feuille de route »devrait ensuite être présentée, dans quinze jours, sur les « thèmes à discuter », a affirmé mercredi le numéro un de FO, Jean-Claude Mailly.
Moody’s abaisse la note de Hongkong. L’agence de notation financière a réduit sa note de Aa1 à Aa2, après avoir fait de même avec celle de la Chine pour la première fois en vingt-huit ans, invoquant des risques liés à leur intégration croissante. Moody’s évoque, par exemple, la connexion entre sa Bourse et celles de Shanghai et Shenzhen ou l’implication de Hongkong dans l’initiative commerciale chinoise dite des « Nouvelles Routes de la soie ». Le gouvernement hongkongais a protesté avec force contre cette décision.
Alitalia : 1 358 salariés au chômage technique. En difficulté, la compagnie aérienne est placée sous tutelle depuis le 2 mai, sur décision du ministère des transports italien. Elle a annoncé mercredi le lancement d’une procédure de chômage technique qui concernera plus d’un salarié sur neuf. Celle-ci touchera 828 membres du personnel au sol et jusqu’à 190 pilotes et 340 hôtesses et stewards, selon un communiqué de l’entreprise. Les trois administrateurs cherchent à renégocier des contrats pour réduire les coûts.
Standard & Poor’s envisage d’abaisser la note d’ExxonMobil. L’agence doute que la major pétrolière puisse réduire de manière significative sa dette à court terme. Si la note se maintient à AA +, sa perspective passe de « stable » à« négative ». En d’autres termes, elle pourrait être abaissée à moyenne échéance. Cette décision « reflète la révision de nos projections de trésorerie [pour Exxon]sur 2017 à 2019 », justifie S&P.
5 millions d’euros d’amende pour la Banque postale. L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution a condamné cette semaine la banque pour défaut de conseil lors de la commercialisation d’un fonds aux particuliers. Les manquements ont principalement trait au fonctionnement du dispositif visant à prévenir les clients des pertes potentielles liées au rachat, avant échéance, de certains contrats d’assurance-vie. Le litige portait sur les fonds communs de placement Progressio et Progressio 2006 créés en 2005 et 2006.

Micro-Macro

par Thibaut Soulcié
Dessin de Thibaut Soulcié
23 millions
C’est le nombre d’Américains qui, d’ici à 2026, se trouveront privés de couverture santé par le projet de réforme de l’assurance-maladie porté par les républicains, d’après un rapport rendu public par le Congressional Budget Office (CBO), un organisme non partisan du Congrès. Ce projet de loi, qui doit se substituer à l’Obamacare, prévoit de supprimer les taxes prévues dans le dispositif créé par le précédent président, notamment l’amende en cas de non-souscription à une assurance. Il entend, en outre, diminuer le financement de Medicaid, le programme d’assurance-santé pour les foyers modestes.

Dans la presse étrangère

Le défi du nouveau patron de Coca-Cola

Des bouteilles de Coca-Cola lors d’une conférence de presse, à Paris, le 20 avril 2017.
Des bouteilles de Coca-Cola lors d’une conférence de presse, à Paris, le 20 avril 2017.BENOIT TESSIER / REUTERS
De plus en plus de gouvernements voient ses produits chargés en sucre comme un fléau : Coca-Cola tente de s’éloigner peu à peu de son produit phare, souligne The Economist. La bouteille de soda noir est l’emblème de l’entreprise depuis 1886, construite à coups de publicités légendaires. Avec ses ventes dans le monde entier, excepté Cuba et la Corée du Nord, Coca-Cola réalise aujourd’hui 42 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Mais les taxes antisoda se multiplient et les investisseurs veulent accroître leur marge, à 24 % aujourd’hui. Des mesures ont déjà été prises, dont un plan pour économiser 3,8 milliards de dollars d’ici à 2019, rappelle l’hebdomadaire.
Un nouveau PDG, James Quincey, a pris ses fonctions le 1er mai. Son plus grand défi : la diversification. Même si, avec toutes ses marques (Sprite, Fanta…), le groupe représente la moitié des sodas consommés sur la planète, la consommation se réduit dans de nombreux pays, y compris pour les produits moins sucrés. La baisse atteint 75 % aux Etats-Unis, par rapport à son record de la fin des années 1990. Dans une logique d’innovation, le groupe développe donc ses boissons au thé, ou encore à base de soja, de fruits, d’aloe vera… Le soda représente encore 70 % de son volume de vente.
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« Les gouvernements ne vont pas partir en guerre contre Trump à ce sujet »
La lutte contre le réchauffement climatique ne sera probablement pas une priorité affichée lors du G7, qui se tiendra vendredi et samedi à Taormina, en Italie, estime Tom Burke, président de l’ONG britannique E3G. « Nous avions espéré avant novembre (et l’élection de Trump) que le G7 renforcerait la dynamique » de l’accord de Paris, regrette-t-il. Le président américain, qui a dit pendant sa campagne vouloir sortir du pacte mondial contre le réchauffement, a reporté sa décision à son retour d’Europe.
L'éco & moi
Nouvelles technologies. Brevets : Nokia et Apple règlent leur contentieux et coopèrent. Les deux géants des technologies mobiles ont annoncé mardi avoir réglé leur contentieux sur l’utilisation de brevets appartenant au groupe finlandais. Ils ont signé un accord de licence selon lequel Nokia percevra un « paiement d’avance en numéraire » puis « des revenus supplémentaires au cours de la période couvrant cet accord », dont les modalités financières demeurent confidentielles. Un accord semblable avait déjà été signé en 2011, Apple acceptant de verser d’importantes royalties à Nokia. Mais ce dernier avait décidé l’an dernier de saisir de nouveau les tribunaux en Allemagne et aux Etats-Unis, estimant que l’américain utilisait sans contrepartie d’autres innovations (écrans, interfaces utilisateur, logiciels, antennes, puces et encodage vidéo). Nokia fournira désormais à Apple des produits d’infrastructure et de services, tandis qu’Apple réintégrera dans son catalogue en ligne et ses boutiques les produits santé de Nokia (montres connectées et autres tensiomètres sans fil distribués sous la marque Withings). Les deux groupes s’engagent également à « explorer des voies de coopération dans le créneau de la santé numérique ».
Etudes & documents
Etat de l’intégration financière en Europe. L’intégration des marchés financiers en zone euro a marqué un temps d’arrêt en 2016 alors qu’elle progressait auparavant. Cette « pause » dans l’intégration « souligne l’importance des initiatives actuelles concernant l’Union des marchés de capitaux et l’achèvement de l’union bancaire », estime la BCE. L’institution de Francfort est favorable à la mise en place d’un fonds européen de garantie des dépôts à laquelle l’Allemagne s’oppose depuis 2010. Elle juge important de renforcer le Mécanisme européen de stabilité et de finaliser la directive sur la titrisation. La BCE souhaite enfin réduire les marges de manœuvre laissées aux superviseurs nationaux et faire reconnaître la zone euro comme une juridiction unifiée pour les calculs des surcharges en capitaux pour les institutions systémiques, une évolution qui faciliterait la consolidation bancaire au niveau européen. L’émergence de banques paneuropéennes contribuerait à la résolution du problème des créances douteuses sans menacer la stabilité financière.
La transformation digitale de la formation professionnelle continue. Cette digitalisation est susceptible de renouveler profondément les pédagogies et les parcours de formation. Elle peut, en outre, faire évoluer le système même de formation professionnelle, en s’ajustant avec l’esprit des réformes récentes : formations tout au long de la vie, sécurisation des parcours professionnels, comptes personnels de formation (CPF)… La mission de l’IGAS a tenté de mesurer l’impact de l’essor des technologiques numériques sur les méthodes pédagogiques et sur les parcours de formation, d’une part, sur le secteur économique des organismes de formation, d’autre part. Elle a esquissé des pistes pour soutenir cette transition numérique en France.
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Celui qui fut ministre de la santé puis chef de la diplomatie éthiopienne est loin de faire l’unanimité : il aurait notamment passé sous silence trois épidémies de choléra.
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source le Monde.fr


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