L'ECONOMIE - jeudi 11 mai 2017

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L'ECONOMIE 
jeudi 11 mai 2017

Le système bancaire parallèle pèse 92 000 milliards de dollars

Sigle de l’euro.
Sigle de l’euro. DANIEL ROLAND / AFP
Le système bancaire parallèle, dit shadow banking, a continué de s’étendre pour peser quelque 92 000 milliards de dollars (84 500 milliards d’euros) fin 2015, selon un rapport du Conseil de stabilité financière (FSB) publié mercredi. En 2015, son poids s’est renforcé de 3 000 milliards de dollars, a indiqué le FSB dans la sixième édition de ce rapport publié chaque année depuis 2011 pour suivre l’évolution et les risques associés à ce pan du système financier. Le FSB, un organisme mandaté par le G20 pour mener à bien les réformes après la crise financière de 2007-2008, a attribué cette croissance en partie à une hausse des valorisations en Bourse et à une augmentation du crédit en dehors du secteur bancaire. Les sociétés fiduciaires, les fonds monétaires et les fonds d’investissements mixtes (autres que les fonds spéculatifs, d’actions ou de titres à revenus fixes) ressortent comme les segments qui ont affiché la plus forte croissance, a précisé le FSB. Depuis le sommet du G20 à Séoul en novembre 2010, le FSB a entrepris de réaliser chaque année un exercice de suivi du système bancaire parallèle, qui désigne les entités qui participent à l’intermédiation du crédit en dehors du système bancaire. Il englobe aussi bien des organismes tels que les fonds de titres à revenus fixes ou les fonds immobiliers que les compagnies d’assurance crédit ou les sociétés de crédit à la consommation.
« La finance de marché apporte une diversification importante des sources de financement qui soutiennent l’économie réelle », a déclaré Mark Carney, le président du FSB, qui est également gouverneur de la banque d’Angleterre, soulignant que cet exercice permet toutefois de disposer de données pour juger des mesures à apporter pour encadrer ce pan du système financier. Compte tenu de son intrication avec le système bancaire traditionnel, le shadow banking peut être une source de déstabilisation pour le système financier, comme cela avait été le cas après la faillite de la banque américaine Lehman Brothers. L’exercice de suivi, qui a été affiné chaque année depuis son lancement, porte sur les données fournies par 28 juridictions, y ajoutant cette fois la Belgique et les îles Caïmans. Depuis l’an passé, le FSB procède également à une analyse sur des critères plus étroits. Selon ce filtre plus strict, les sommes brassées dans le système bancaire parallèle se montaient fin 2015 à 34 000 milliards de dollars, soit une hausse de 2,5 %. L’étude du Conseil de stabilité financière porte sur des pays représentant 80 % du PIB mondial. On notera que le Luxembourg, pourtant un important centre financier, n’a pas participé à l’étude… Les îles Caïmans ont en revanche fourni leurs chiffres pour la première fois, et l’on apprend que le shadow banking y atteint 6 000 milliards de dollars, un montant plus important qu’au Canada et au Japon, où il est d’environ 4 000 milliards de dollars.
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Déficit public français 2017 : l’UE relève légèrement sa prévision. Bruxelles a très légèrement relevé jeudi sa prévision de déficit public de la France pour 2017 à 3 % du produit intérieur brut (PIB), soit le chiffre limite des règles européennes. Dans ses prévisions de février, la Commission européenne tablait sur 2,9 % du PIB. Pour 2018, elle prévoit désormais un déficit public à 3,2 % du PIB, contre 3,1 % lors de sa précédente estimation. En 2016, la France affichait un déficit public de 3,4 % du PIB, selon les dernières données publiées. Ces chiffres légèrement révisés à la hausse accroissent un peu la pression sur le nouveau président français élu Emmanuel Macron pour respecter les règles européennes. Par deux fois, la France a bénéficié de délais de deux ans concédés par la Commission européenne pour revenir dans les clous: en 2013 - Pierre Moscovici était alors ministre de l’économie et des finances français - et en 2015.
France : le déficit courant se creuse fortement en 2016. Le déficit des transactions courantes de la France vis-à-vis du reste du monde s’est nettement creusé en 2016, à 19 milliards d’euros contre 9,6 milliards d’euros en 2015, ce qui représente 0,9 % du produit intérieur brut (PIB), a annoncé jeudi la Banque de France. Cette dégradation est due essentiellement « aux pertes de part de marché de l’appareil exportateur français » vis-à-vis de ses principaux partenaires et à l’érosion de l’excédent traditionnel des services, explique l’institution dans un communiqué. Ces facteurs n’ont pu être compensés par « l’amélioration de la facture énergétique d’environ 8 milliards », souligne-t-elle. La balance des transactions courantes est un bon indicateur de la situation d’une économie par rapport au reste du monde car elle va au-delà des seuls échanges de biens, déficitaires depuis de longues années en France. Elle prend en compte ceux, croissants, de services ainsi que les revenus des investissements et ceux du travail versés entre agents économiques en France et à l’étranger.
Solides résultats pour Crédit agricole SA. L’entité cotée du groupe bancaire mutualiste (CASA) a dévoilé jeudi des résultats solides pour le premier trimestre, portés par une base de comparaison favorable et des progrès dans l’ensemble des métiers. De janvier à mars, CASA a plus que triplé son bénéfice net, à 845 millions d’euros, atteignant ainsi un résultat bien meilleur que les 645 millions attendus en moyenne par les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset. Sur cette période, la banque a notamment profité d’une base de comparaison favorable liée à la vaste opération de simplification capitalistique du groupe mutualiste, baptisée « Eurêka », qui s’est traduite par sa sortie des caisses régionales du groupe Crédit agricole. Lancée l’an dernier, cette mutation s’était traduite par des charges exceptionnelles au premier trimestre 2016. Toiletté de ces coûts ponctuels, le bénéfice net retraité n’en ressort pas moins en nette progression – il est multiplié par plus de deux – et reflète « une activité soutenue dans tous les métiers » conjuguée à des charges « très bien maîtrisées », s’est félicité lors d’une conférence de presse téléphonique le directeur général de Crédit agricole, Philippe Brassac.
Altice porté par les Etats-Unis. Le groupe de médias et télécoms a publié jeudi un chiffre d’affaires de 5,93 milliards d’euros au premier trimestre, en progression de 3,2 % par rapport à l’an dernier, porté par la croissance de ses filiales américaines, Optimum et Suddenlink. Sur les trois premiers mois de l’année, le groupe coté à Amsterdam a vu son excédent brut d’exploitation (Ebitda) ajusté progresser de 9,5 % (+ 7,5 % à taux de change constants), à 2,24 milliards d’euros, en particulier sous l’effet d’une hausse de 31,2 % aux Etats-Unis. Altice voit également sa filiale française SFR, qui représente toujours plus de 45 % de son chiffre d’affaires global, poursuivre son redressement, avec une hausse de 0,6 % de ses ventes, à 2,7 milliards d’euros entre janvier et mars. Second marché du groupe, les Etats-Unis portent la croissance d’Altice avec une hausse de 7,4 % des ventes de ses filiales, à 2,17 milliards d’euros.
Départs anticipés à la retraite. Environ 17 000 à 18 000 salariés pourraient faire valoir en 2018 leur départ anticipé à la retraite au titre du compte pénibilité, 100 000 au total d’ici à 2070, selon une étude prospective de la Caisse nationale d’assurance-vieillesse, rapporte mercredi Les Echos.
Consommation de gaz en hausse. La consommation de gaz naturel dans le monde a progressé de 1,6 % en 2016, comme l’année précédente, soutenue par des prix en baisse et des températures plus fraîches qu’à l’accoutumée en fin d’année, selon une estimation provisoire de Cedigaz. « La demande de gaz naturel et de GNL [gaz naturel liquéfié] a été tirée dans les marchés industrialisés (Europe) comme émergents par des prix du gaz naturel plus abordables en 2016 », a souligné l’association professionnelle mercredi.
Suivre les drones civils en temps réel. L’Organisation de l’aviation civile internationale a lancé une consultation publique pour concevoir un système international de suivi en temps réel des drones civils. Ce système électronique permettra d’identifier le propriétaire et le type de drone qu’il possède, la position, la trajectoire et l’altitude de l’appareil ainsi que la localisation exacte de la télécommande. Au cours des dernières années, de nombreux pays ont exprimé leurs inquiétudes face à la multiplication des incidents dans le trafic aérien commercial impliquant des drones civils volant trop près des aéroports.
Le Nasdaq de record en record. Wall Street a fini proche de l’équilibre mercredi, restant calme face à un contexte politique troublé aux Etats-Unis : le Dow Jones a cédé 0,16 % alors que le Nasdaq a pris 0,14 % et battu un nouveau record. Selon les résultats définitifs, l’indice vedette Dow Jones Industrial Average a perdu 32,67 points à 20 943,11 points et le Nasdaq, à dominante technologique, a gagné 8,56 points à 6 129,14 points, finissant à un niveau sans précédent pour la quatrième séance consécutive.

Micro-Macro

par Thibaut Soulcié
Dessin de Thibaut Soulcié
15 000 euros
C’est la retraite que devrait toucher François Hollande après son départ du pouvoir, selon les chiffres transmis par le cabinet de l’Élysée à René Dosière, député socialiste spécialiste des comptes publics. Un montant obtenu grâce au cumul de quatre indemnités distinctes relatives aux différents postes occupés par François Hollande : ancien président de la République (5 184 euros), ancien député de Corrèze (6 208 euros), ancien conseiller de la Cour des comptes (3 473 euros) et ancien président du conseil général de Corrèze (235 euros). Mais cette retraite pourrait s’avérer encore plus élevée. En plus de la dotation d’ancien président de la République, prévue par la loi du 3 avril 1955, François Hollande pourrait toucher 14 000 euros brut mensuels supplémentaires s’il décide de siéger au Conseil constitutionnel. Par ailleurs, le nouvel ex-président bénéficiera d’autres avantages accordés aux chefs de l’Etat sortants : appartement de fonction, deux personnes affectées à son service, voiture de fonction, deux policiers et sept collaborateurs. Cependant, comme l’a voulu François Hollande lui-même, cette situation ne sera que temporaire. Un décret du 4 octobre 2016 prévoit désormais la dégressivité des moyens accordés aux anciens présidents de la République.

Dans la presse étrangère

Quels dangers du shadow banking en Chine ?

District financier de Pudong à Shanghaï, le 5 mars 2015.
District financier de Pudong à Shanghaï, le 5 mars 2015. ALY SONG / REUTERS
Le Conseil de stabilité financière (FSB), l’agence de surveillance des risques financiers du G20, a critiqué Pékin pour avoir lentement fourni des données financières clés en provenance de Chine, notamment concernant le shadow banking, le secteur parallèle bancaire. La Chine a pourtant promis de surveiller les risques financiers, l’affichant comme une priorité absolue cette année, rappelle la Deutsche Welle. Cependant, le contrôle plus strict de Pékin sur les prêts bancaires semble pousser les emprunteurs vers d’autres sources de financement, y compris le secteur bancaire parallèle opaque, souvent peu réglementé. Le secteur bancaire parallèle chinois, qui atteint 7,7 trillions de dollars (7 060 milliards d’euros) et comprend des formes de crédit non bancaires comme les produits de gestion de patrimoine, est réduit par celui des Etats-Unis et d’Europe, mais la rapidité avec laquelle il s’étend devient une préoccupation pour les régulateurs chinois et à l’étranger, inquiets du risque systémique caché. Le FSB a déclaré qu’un retard dans la réception des données du secteur financier chinois signifiait qu’il était incapable de fournir une mesure des activités bancaires parallèles en Chine qui pourraient constituer une menace pour la stabilité financière. Le secteur bancaire de l’ombre chinois s’est classé au quatrième rang mondial après celui de la zone euro, des Etats-Unis et du Royaume-Uni, mais en termes de croissance, il est deuxième derrière l’Argentine, se développant de 31 % par rapport à l’année précédente. Il y a des inquiétudes croissantes concernant le risque systémique créé par les interconnexions entre les entités financières de la deuxième économie mondiale. « L’interconnexion entre les banques moyennes et petites et le secteur bancaire parallèle continue de croître, augmentant le risque que les structures de financement puissent devenir fragiles », remarque Michael Taylor, managing director chez Moody’s. Les régulateurs financiers chinois ont visé des véhicules financiers du secteur bancaire parallèle qui auraient financé des entreprises publiques endettées, des gouvernements provinciaux fortement endettés ou des projets immobiliers en difficulté. La politique régulatrice de Pékin pourrait se renforcer face à ces risques. Mais les banques de l’ombre étant devenues si importantes après des années de croissance galopante que les décideurs chinois devaient faire preuve de prudence, selon Chen Long, économiste Chine chez Gavekal Dragonomics, car des tentatives excessives d’entraver l’activité financière pourraient provoquer une crise financière. « Ils ne peuvent pas la réglementer, mais ils ne peuvent pas non plus prendre des sanctions inutilement sévères », souligne M. Chen.
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245 milliards de dollars
Les budgets de défense en Europe augmenteront de 1,6 % en moyenne chaque année pour les cinq prochaines années pour atteindre 245 milliards de dollars (224,6 milliards d’euros) en 2021, selon une nouvelle analyse publiée mercredi par IHS Markit, un leader mondial de l’information, des analyses et des solutions critiques. Dans l’ensemble de l’Europe, les dépenses de défense devraient revenir aux niveaux des pics de 2008/2009 d’ici à 2020, avec une augmentation des dépenses principalement axée sur l’amélioration de la préparation et l’accélération de la modernisation de l’équipement, en réponse à des niveaux de menace amplifiés dans la région. « Des niveaux élevés de menace signifient qu’il y a sans doute plus de soutien politique en ce moment pour accroître les dépenses de défense qu’il n’y en a eu au cours des dix dernières années », a déclaré Fenella McGerty, analyste principale chez Jane’s by IHS Markit.« Cependant, les progrès vers la mise en œuvre de l’objectif OTAN de 2 % du PIB dans l’ensemble de l’Europe seront lents ».
L'éco & moi
Nouvelles technologies. L’Ouest français soutient les nouvelles techno.Les régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire, en collaboration avec bpifrance, le Fonds européen d’investissement et les caisses régionales de Banque populaire, CIC, Crédit agricole et la Caisse d’épargne ont annoncé la création d’un fonds de 60 millions d’euros qui doit permettre le financement de jeunes entreprises « dans les domaines de la santé-médical, du digital et médias, de la biotechnologie et santé-nutrition ainsi que dans la transition énergétique » présentes sur le territoire des trois régions. Le fonds doit venir en soutien d’entreprises non plus en phase de création mais bien de développement de leur offre commerciale et n’ayant pas encore réalisé de levées de fonds.
Etudes & documents
Hausse des dépenses sociales des départements. Les départements ont attribué en 2015 près de 4,3 millions de prestations au titre de l’aide sociale, en hausse de 2 %, pour une dépense nette estimée à 33 milliards d’euros, selon une étude de la Drees publiée mardi.
Cette augmentation s’explique notamment par une hausse de 4 % du nombre d’aides versées aux personnes en situation de handicap et de 3 % des effectifs des allocataires du revenu de solidarité active (RSA) socle, précise la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation
et des statistiques. Le nombre d’aides sociales accordées aux personnes âgées et de mesures d’aide sociale à l’enfance a augmenté mais plus modérément (+ 1 % chacun). Par rapport à 2014, la dépense annuelle nette des départements pour ces quatre postes est passée de 32 à 33 milliards d’euros, soit une hausse de 3 %, ajoute cette étude. En moyenne, 64 % des dépenses de fonctionnement sont consacrées à l’aide sociale, une part qui varie de 39 % à 75 % selon les départements. En proportion, plus d’un tiers de ces dépenses (34 %) concerne l’insertion (RSA), 23 % l’aide sociale à l’enfance, 22 % l’aide aux personnes handicapées et 21 % l’aide aux personnes âgées. La dépense annuelle d’aide sociale est estimée à 550 euros par habitant.
Inégalités salariales massives aux Etats-Unis. Les grands patrons aux Etats-Unis ont gagné en moyenne 13,1 millions de dollars en 2016, soit 347 fois plus que leurs salariés de base, indique une étude du syndicat américain AFL-CIO parue mardi. Le haut du classement est occupé par le PDG d’Alphabet, maison-mère de Google, Sundar Pichai, qui a perçu une rémunération annuelle de 100,6 millions de dollars, suivi par le patron du câblo-opérateur Charter Communications, Thomas Rutledge (98,5 millions) et de celui de l’agence de voyages en ligne Expedia, Dara Khosrowshahi (94,6 millions), selon les données compilées par le syndicat. Dans le même temps, le salaire d’un employé lambda, hors encadrement, s’est élevé en moyenne à 37 632 dollars, un montant en stagnation depuis cinquante ans en tenant compte de l’inflation, assure l’AFL-CIO, qui affirme représenter 12,5 millions de salariés. « C’est une preuve supplémentaire que la cupidité des PDG aggrave la crise des inégalités de revenus aux Etats-Unis », affirme le président du syndicat, Richard Trumka.
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Source Le Monde.fr


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