Dans la presse étrangère - vendredi 5 mai 2017 - Salut l'amie
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Dans la presse étrangère - vendredi 5 mai 2017
La Russie et la Turquie mettent en scène leur rapprochement
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Le président russe, Vladimir Poutine (à droite), et son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, participent à une conférence de presse commune à Sotchi, le 3 mai 2017.ALEXANDER ZEMLIANICHENKO / AP
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- Faire table rase des différends du passé et regarder ensemble vers l’avenir, pour« changer le destin du Moyen-Orient ». Tel est, en substance, le message d’apaisement qu’ont voulu faire passer mercredi le président russe, Vladimir Poutine, et son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, à l’issue de leur rencontre dans la station balnéaire de Sotchi, sur les bords de la mer Noire. Hürriyet
- Lors d’une conférence de presse commune, le maître du Kremlin a déclaré que les relations entre Moscou et Ankara étaient « pleinement rétablies » après une période de trouble au cours de laquelle le partenariat bilatéral avait été rudement malmené. Signe de cette entente retrouvée, les sanctions commerciales visant la Turquie, en particulier l’embargo sur certains produits alimentaires (blé, huile de tournesol), vont être partiellement levées. Radio Free Europe, Euronews
- Ces mesures de rétorsion avaient été prises par la Russie en représailles à ladestruction de l’un de ses bombardiers – un Soukhoï SU-24 –, par l’aviation turque au-dessus de la frontière turco-syrienne, en novembre 2015. Un acte qualifié à l’époque par M. Poutine de « coup de poignard dans le dos (…) porté par les complices des terroristes ».
- Sur le dossier ô combien épineux du terrorisme, justement, les deux dirigeants sont convenus de faire front commun. De surcroît, la coopération entre les forces de sécurité de leur pays devrait être renforcée. C’est en tout cas le souhait exprimé par le président russe, avant que soit mis en place un régime d’exemption de visa.
- La question syrienne, principal nœud gordien entre les deux chefs d’Etat, a également été au cœur des discussions. Et pour cause : sur le terrain, M. Poutine et M. Erdogan soutiennent des camps opposés : le premier porte à bras-le-corps le régime alaouite (chiite) de Bachar Al-Assad, le second, des groupes rebelles dont l’aspiration première est de mettre à bas le pouvoir de Damas.
- Néanmoins, ils se sont entendus sur la création de « zones sécurisées » (ou « zones de désescalade »), projet qui a été entériné jeudi à Astana (Kazakhstan) et a reçu l’aval de l’Iran (les émissaires du régime syrien et des rebelles, eux, l’ont rejeté). Objectif : consolider un cessez-le-feu toujours fragile et, partant, soulager la crise humanitaire qui frappe un pays en guerre civile depuis plus de six ans. The Washington Post, CNN
- Reste à savoir si cette volonté politique de façade résistera à l’épreuve de la réalité. Cité par Al-Jazira, Fadi Hakura, expert au sein du groupe de réflexion britannique Chatham House, n’y croit pas. « Pour paraphraser Shakespeare, ce sont beaucoup de beaux discours pour rien », explique-t-il, car, à moins qu’il y ait une convergence de vues sur le sort d’Assad, « aucune avancée concrète n’interviendra ».
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Héraut maudit de l’indépendantisme catalan. Depuis sa condamnation, à la mi-mars, à deux ans d’inéligibilité pour avoir organisé un référendum consultatif sur l’avenir de la Catalogne, Artur Mas, président de la Generalitat (le pouvoir exécutif) de 2010 à 2016, remâche son amertume. Il sait que ses chances de mener la communauté autonome à l’autodétermination sont désormais nulles. Portrait d’un messie déchu, relégué dans l’ombre. Le Temps
Levier chinois limité. Entre la Chine et la Corée du Nord, le commerce bilatéral se porte bien. Hormis le charbon, les échanges entre les deux régimes communistes se poursuivent comme si de rien n’était, en dépit des sanctions internationales imposées à Pyongyang et des tensions aiguës autour de la péninsule. Preuve que Pékin n’est pas près d’abandonner son turbulent allié. La Tribune de Genève
Islam et laïcité, débat italien. Si le concept de « juifs laïques » est bien connu, notamment outre-Atlantique, celui de « musulmans laïques » n’a pas de réelle existence propre. En Italie, pourtant, deux femmes originaires de Somalie en font la promotion active, espérant obtenir l’imprimatur des autorités (qui, jusqu’ici, ne reconnaissent pas officiellement l’islam). Problème : tout le monde ne s’accorde pas sur une même définition… The Atlantic
Tiraillements nigérians. La foi et la tradition d’un côté, l’éducation de l’autre. Au Nigeria, ces deux camps s’opposent de front. Si le premier exhorte les filles à faire un maximum d’enfants, le second pose des limites à la fécondité. Derrière ce duel se profile en réalité un combat beaucoup plus profond, celui du progressisme et de l’obscurantisme qu’incarne, entre autres, la secte islamiste Boko Haram. The Economist
Source Le Monde.fr
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